Le sentiment de la chair est un film
français réalisé en 2010 par Roberto Garzelli. Le long métrage d’une durée de
92 minutes mets en scène une histoire d’amour passionnel entre un radiologue et
une étudiante au doctorat en dessin anatomique. Ils se rencontrent lors d’un
examen médical. Le jeune médecin, Benoît, prends une radiographie des
« poumons » de la jeune femme alors qu'elle en demandait une pour le bas de son dos seulement. Héléna voit la radiographie en revenant à la clinique
afin de récupérer le roman qu’elle avait oublié par mégarde. Elle s’inquiètera
toute la nuit de cette radio, ira le lendemain adresser quelques mots à Benoît.
Et puis, c'est finit: s’en est fait de leur vie banale.
Comme deux aimants, rien ne pourra les
décoller l’un de l’autre. Ils se repousseront et s’attireront indéfiniment.
Tous deux fascinés par le corps humain, ils s’exploreront.
Cependant, car il y a un cependant,
jusqu’où ira leur passion? Cette passion combinée de l’autre et du corps humain
les mènera à des confins inimaginables (en tout cas, je n'aurais jamais pu imaginé cette fin!).
Pour tout vous avouer, pendant les 90
premières minutes du film, je croyais à un amour comme les autres, mais
violent, comme beaucoup de gens en vivent. Je croyais à une jeune femme qui
doute d’elle-même et qui veut se faire aimer à tout prix d’un homme d’
« expérience ». Je croyais à un radiologue qui se laisse berner par
une jeune femme et qui aussi essaie de combattre ses tendances possessives.
Je me trompais sur toute la ligne. Les deux
dernières minutes vont me hanter longtemps encore, et je sais déjà que je
n’irai pas me coucher de sitôt!
Jusqu’où peut porter l’amour? Jusqu’où peut
porter la passion? Jusqu’où peut-on entrer dans l’intimité de l’autre? Quelle
est la limite? Mais surtout, y a-t-il réellement une limite?
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